Vous lisez mes messages et vous faites bien. Le 9/01/10 14:29, olive a
Post by olivePost by Jean-Marie SchwartzPost by oliveEn connaissance de cause et d'effet, j'ai donc décidé de laisser les
noms d'auteurs en capitales. L'effet produit n'est pas choquant, et il y
aurait vraiment beaucoup de travail pour tout reprendre.
En capitales, si, l'effet est très choquant !
Dans le texte certainement. En bibliographie, ça se discute.
Mais c'est tout discuté ! Si on est arrivé à parler de petites caps pour les
patronymes dans les biblio, ce n'est pas sans dicussion aucune ; c'est bel
et bien après avoir essayé et publié ou tout au moins imprimé tout et son
contraire et s'être rendu compte que finalement c'est celles-là et pas les
autres qui passaient le mieux. Et ce n'est pas une conclusion qui date de
maintenant. (J'ai peut-être l'air de contredire ce que je disais plus haut,
mais non : je pensais que de ne pas imposer était plus pédagogique :-)
De toute façon, je n'impose rien, je n'en ai pas les moyens :-)
Post by olivePost by Jean-Marie SchwartzBeaucoup de travail de tout reprendre beh si on se pose la question après
coup, évidemment !
Évidemment. Mais je n'étais pas là lorsque l'auteur a fait sa biblio. Le
prochaine fois (le cas échéant), je l'initierai aux subtilités de Bibtex
(dont je n'ai moi-même qu'une connaissance assez superficielle).
Les auteurs qui publient chez nous sont des clettes ! Je me tape tout se
travail pourtant. L'amour du travail bien fait. Les règles de l'art. Le
respect du lecteur. Tout ça.
Post by olivePost by Jean-Marie SchwartzPuis c'est quand même le métier que de reprendre si
nécessaire.
Sans doute. Mais ce n'est pas mon métier ; je tente seulement d'aider
l'auteur en question à publier un texte propre chez l'Harmattan. Maison
très estimable, mais qui délègue énormément le travail à ses auteurs. Je
crois que malgré le contrat de publication proposé, l'auteur en question
aurait laissé tomber sans mon offre de mise en pages. Et encore, il n'y
a pas beaucoup de fioritures dans le document à produire : il s'agit
essentiellement de texte.
Oui, j'ai bien compris, c'est de texte que nous parlons.
Post by olive(...)
Post by Jean-Marie SchwartzPost by olivePost by Jean-Marie SchwartzPost by oliveAllez encore une : La mention "table des matières" dans la table des
matières elle-même est-elle obligatoire ? Conseillée ? À proscrire ? Là
encore, en parcourant ma bibliothèque, cette mention me paraît fort
rare.
Ça m'arrange, parce que même les gurus de LaTeX sur le forum adéquat
n'ont pas eu de réponse simple pour m'aider à l'indiquer au bon endroit.
Je crois que je vais abandonner l'idée sans scrupule.
Les gurus ayant fini par me proposer une solution qui marche
(aujourd'hui), je vais revoir ma position. L'auteur a eu le choix entre
les deux versions, il a choisi la version "avec".
Pourquoi l'auteur décide-t-il de cela ? Est-ce de son ressort ?
Dans le cas qui m'occupe, oui, évidemment.
(...)
Post by Jean-Marie SchwartzTout, en typographie, a une grande importance. Surtout les détails. Mais le
reste aussi :-)
J'ai cru le comprendre.
Post by Jean-Marie SchwartzPost by olivePost by Jean-Marie SchwartzPar contre, en français, elle vient à la fin du livre.
Oui, évidemment.
Pas si évident que cela au vu de ce qui se produit parfois.
Pour être clair, c'est ma première expérience en PAO, et je dois
produire un document directement destiné à être flashé puis imprimé.
J'ai tenté d'apprendre les usages en vigueur dans l'édition et de m'y
conformer au maximum. Je suis parti d'un .doc horrible qui ne respectait
strictement aucune des règles de la typographie et était bourré de
fautes.
J'attends avec impatience le produit imprimé.
Un document prêt à flasher 1re expérience en PAO, j'attends aussi avec
impatience le résultat ;-) (Mais nous avons tous commencé par un 1er livre)
--
Jean-Marie
¡Díle no a las drogas!